Cette expression est à l'origine de trois interventions.
La première en 2009, à Avermes dans l'Allier, où quinze éléphants volettent gaiement au plafond du l'espace culturel de La Passerelle. Craie grasse sur papier de soie pour chaque dessin aux dimensions 50x75 cm.
La deuxième dans une cave à vin à Clermont-Ferrand l'endroit idéal pour élever ces petites bêtes. Là une vingtaine d'entre-eux sont peints sur la voûte avec un vernis phosphorescent activé par un tube de lumière noire.
Dans la troisième version, « Preuve par quatre de l'existence des éléphants roses », des Polaroïds infrarouges ont pu capturer leur présence. Cette installation a été réalisée une dizaine de fois. C'est un travail à l'encre rouge sur des prises de vue en noir et blanc du lieu de présentation.