"Arbres n°1" 2009Gouache sur papier 21 x 29,7 cm
"Arbres n°4" 2011Encre sur papier 21 x 29,7 cm
"Arbres n°11" 2012Gouache sur papier 21 x 28 cm
"Arbres n°15" 2013Gouache sur papier 26 x 37 cm
"Arbres n°17" 2013Gouache sur papier 120 x 160 cm
"Arbres n°19" 2014Feutre sur papier 14,5 x 21 cm
"Arbres n°25" 2014Gouache sur carton 80 x 120 cm
"Arbres n°26" 2014Gouache sur papier 120 x 160 cm
"Arbres n°27" 2015Gouache sur papier 21 x 29,7 cm
"Arbres n°28" 2015Aquarelle sur papier 21 x 29,7 cm
"Arbres n°30" 2015Gouache sur papier 21 x 29,7 cm
"Arbres n°31" 2015Gouache sur carton 80 x 120 cm
"Arbres n°35" 2015Aquarelle et gouache sur papier 26 x 37 cm
Içi, il n'est pas question de Nature, mais de convertir un espace tridimensionnel en plan. Pour ce faire la forêt est une base idéale, avec alternance de pleins et de vides, juxtapositions et successions de verticales aux largeurs variables, des troncs et entre les troncs, d'autres troncs.
Le sentiment de profondeur est bousculé, par des perspectives inversées (des arbres plus gros - parce que plus anciens - peuvent être au second plan), par la couleur qui peut contredire le tracé (des surfaces sombres et peu contrastées au premier plan, et des teintes éclatantes pour des parties qui se voudraient plus en arrière et qui sont projetées vers l'avant).
La couleur toujours, peut troubler la lecture de l'image.
Si nous regardons « Arbres n°26 » par exemple, il est difficile de se repérer. Du vert : végétation au sol, feuillage mais aussi mousse sur les troncs. Du brun : des troncs ou des zones sombres au cœur de la forêt. Bruns et verts se mêlent, très vite on perd la notion d'espace. Qu'est-ce qui est plein ou vide, proche ou lointain ?